Bloc bas et réajustements face au Sénégal : le coach de la RDC se lâche

"Ce match on l’a préparé comme un deuxième de la compétition. On se connaît, on s’est joué il n'y a pas longtemps. On a bien joué contre le Bénin avant de basculer sur le Sénégal. On est arrivé hier à Tanger."

Tactique

"Quand on joue le Sénégal, une des meilleures équipes d’Afrique, sans discipline tactique et prise de risque, vous ne pouvez pas faire de bons résultats. On a la chance d’avoir des joueurs tactiquement à l’aise. C’est une bonne chose. On connait le Sénégal, sur les 16 derniers matchs dont 10 en CAN, il a pris 16 buts et concédé 6 dont 4 contre la RD Congo. Donc, on a de quoi les inquiéter.

Le joueur disait qu’il était content de ouer une équope top africaine. Il y a eu une décpeyion maos derrière, on a enchainé 4 victoires consécutives. Il faut parfois avoir ce résultat pour se remettre en question. On avance. Forcèment, dans les analyses, on prend en consiédaration cette défaite ainsi que ceux contre le Brésil et le Ken ya. Après, ce qui se passe sur les résuseaux sociaxu, on ne le voit pas. On est dans notre bulle. L’important est d’avoir un beau spectacle pour le football africain, pour les fans.

On reste sur une dynamique de 10 matchs, pour 9 victoires et une défaite. Comme le Sénégal qui a perdu contre le Brésil. On fait notre bonhomme de chemin en gardant une certaine ossature, une coordination depuis ma nomination il y a trois ans. On est remonté de 20 places au classement, grâce à nos joueurs de qualité, qui s’imprègnent de ce qu’on demande. Je suis confiant que mon équipe répondra demain.

Revanche

"On est focus sur ce qui se passe, prenant en considération ce qui s’est passé. Que ce soit le Sénégal ou une autre d’Afrique, on est concentré de la même manière. Il n’y a pas de différence particulière.

On doit être à notre niveau, à 100% de nos capacités comme c‘était le cas contre le Nigéria, le Cameroun ou le Maroc à la dernière CAN. C’est un match important mais pas décisif pour la qualification. On va essayer de sortir le meilleur de notre jeu pour s’en sortir.

Le joueur disait qu’il était content de jouer une équipe top africaine. Il y a eu une déception mais derrière, on a enchainé 4 victoires consécutives. Il faut parfois avoir ce résultat pour se remettre en question. On avance. Forcèment, dans les analyses, on prend en considération cette défaite ainsi que celle contre le Brésil et le Kenya. Après, ce qui se passe sur les réseaux sociaux, on ne le voit pas. On est dans notre bulle. L’important est d’avoir un beau spectacle pour le football africain, pour les fans.

On reste sur une dynamique de 10 matchs, pour 9 victoires et une défaite. Comme le Sénégal qui a perdu contre le Brésil. On fait notre bonhomme de chemin en gardant une certaine ossature, une coordination depuis ma nomination il y a trois ans. On est remonté de 20 places au classement, grâce à nos joueurs de qualité, qui s’imprègnent de ce qu’on demande. Je suis confiant que mon équipe répondra demain."

Bloc bas et réajustements

"On aura une organisation tactique ambitieuse. On veut mettre en place notre football. Avant de parler de mise en place défensive, on a un plan offensif car on a les qualités pour les mettre en difficulté.

On a 27 joueurs. C’est un groupe homogène. En fonction des joueurs, on peut avec plusieurs systèmes – 3-5-3, 4-3-3. On a travaillé sur ça lors des matchs amicaux. On a évolué tactiquement, collectivement. Il peut y avoir des modifications en fonction de ce qu’on voudrait faire et c’est une de nos forces."

Mamadou Salif GUEYE (Envoyé spécial à TANGER, MAROC)