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iRevue du 17 août

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#BLOG

Quand « Le Monde » retourne à La Baule… (Par Mamoudou Ibra Kane)

1 jour

"Réflexion sur la récupération des biens publics après le décès d’un gestionnaire poursuivi"

1 semaine

Saly : L’Impact dévastateur des hôtels sur notre Identité et notre économie

1 semaine

#ONENPARLE

Babs  •  6 heures

Tant qu'on aura pas fait le diagnostic objectif, sans complaisance, sans politique politicienne, il 'y aura jamais de solution aux inondations. Quelle est la responsabilité des mairies, services de l'État qui lotissement n'importe comment? Qu'en est-il de celle des vendeurs de terrains cupides jusqu'à la moelle des os et qui vendent des parcelles avec la complicité de certains fonctionnaires? Et celle des populations qui font tout pour rester à Dakar et acheter des parcelles même dans les lacs? Et celle des distributeurs d'eau et d'électricité qui facilite l'installation. Le mal est trop profond malheureusement les politiciens en fonction de leur position ne font que de la récupération.

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passant  •  5 heures

Le processus de remplacement de Barthélémy Dias à la tête de la mairie de Dakar entre dans une phase décisive. Selon le quotidien Les Échos, une session extraordinaire du Conseil municipal est convoquée pour le 27 août, afin de désigner un nouveau maire. Cette échéance suscite un vif intérêt, car la mairie de Dakar représente un enjeu politique majeur et symbolique, tant pour la capitale que pour la scène nationale. Le nom d’Abass Fall circule avec insistance comme successeur pressenti, ce qui alimente les débats sur la stratégie des forces politiques en présence et la volonté d’assurer une certaine continuité dans la gestion municipale. Cependant, il faut dire que la destitution d’un maire élu au suffrage universel direct, pour le remplacer par un autre, constitue une injustice. Le principe de la démocratie repose sur le respect du choix des électeurs, et non sur des décisions prises dans les coulisses du pouvoir. Lorsqu’un maire est écarté que la seule rivalité et la haine , ce n’est plus la volonté populaire qui prime, mais des considérations politiques. Une telle pratique crée un décalage entre la légalité des textes et la légitimité démocratique, car le peuple, qui a choisi son représentant, voit sa voix confisquée. L’injustice est d’autant plus flagrante que ce type de procédé sape la confiance entre les citoyens et leurs institutions. Au lieu de renforcer la démocratie locale, il l’affaiblit en donnant le sentiment que les urnes ne servent à rien. Les électeurs se sentent trahis, car leur choix est annulé non pas par une sanction démocratique, mais par un calcul de pouvoir. Cela peut nourrir la frustration et même la contestation, car une mairie comme celle de Dakar n’est pas seulement une institution administrative, elle est aussi le symbole du poids du suffrage populaire dans la capitale.

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Saliou Diakhoumpa  •  5 heures

La responsabilité de l’État est pleine et entière . De la délivrance des permission de construction, au manque d’assainissement en passant par la quasi- in existence d’infrastructures..

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Peace  •  1 jour

Dieu merci, vos vœux de voir toute la ville inondée ne se sont pas réalisés.

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passant  •  5 heures

Le processus de remplacement de Barthélémy Dias à la tête de la mairie de Dakar entre dans une phase décisive. Selon le quotidien Les Échos, une session extraordinaire du Conseil municipal est convoquée pour le 27 août, afin de désigner un nouveau maire. Cette échéance suscite un vif intérêt, car la mairie de Dakar représente un enjeu politique majeur et symbolique, tant pour la capitale que pour la scène nationale. Le nom d’Abass Fall circule avec insistance comme successeur pressenti, ce qui alimente les débats sur la stratégie des forces politiques en présence et la volonté d’assurer une certaine continuité dans la gestion municipale. Cependant, il faut dire que la destitution d’un maire élu au suffrage universel direct, pour le remplacer par un autre, constitue une injustice. Le principe de la démocratie repose sur le respect du choix des électeurs, et non sur des décisions prises dans les coulisses du pouvoir. Lorsqu’un maire est écarté que la seule rivalité et la haine , ce n’est plus la volonté populaire qui prime, mais des considérations politiques. Une telle pratique crée un décalage entre la légalité des textes et la légitimité démocratique, car le peuple, qui a choisi son représentant, voit sa voix confisquée. L’injustice est d’autant plus flagrante que ce type de procédé sape la confiance entre les citoyens et leurs institutions. Au lieu de renforcer la démocratie locale, il l’affaiblit en donnant le sentiment que les urnes ne servent à rien. Les électeurs se sentent trahis, car leur choix est annulé non pas par une sanction démocratique, mais par un calcul de pouvoir. Cela peut nourrir la frustration et même la contestation, car une mairie comme celle de Dakar n’est pas seulement une institution administrative, elle est aussi le symbole du poids du suffrage populaire dans la capitale

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𝙻𝚊𝚖𝚒𝚗𝚎  •  1 jour

𝙽𝚘𝚞𝚜 𝚕𝚎𝚞𝚛 𝚜𝚘𝚞𝚑𝚊𝚒𝚝𝚘𝚗𝚜 𝚞𝚗 𝚙𝚛𝚘𝚖𝚙𝚝 𝚛𝚎́𝚝𝚊𝚋𝚕𝚒𝚜𝚜𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝, 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚌𝚎𝚜 𝚖𝚒𝚗𝚒𝚋𝚞𝚜 𝚏𝚒𝚕𝚎𝚗𝚝 𝚝𝚛𝚘𝚙 𝚟𝚒𝚝𝚎, 𝚖𝚎̂𝚖𝚎 𝚜𝚒 𝚟𝚜 𝚎𝚝𝚎𝚜 𝚎𝚗 4*4 𝚒𝚕𝚜 𝚏𝚘𝚗𝚝 𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚟𝚘𝚞𝚜 𝚍𝚎𝚙𝚊𝚜𝚜𝚎𝚛 𝚊𝚕𝚘𝚛𝚜 𝚚𝚞'𝚊𝚙𝚙𝚊𝚛𝚎𝚖𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚒𝚕𝚜 𝚗𝚎 𝚜𝚘𝚗𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚊𝚜𝚜𝚎𝚣 𝚜𝚝𝚊𝚋𝚕𝚎...

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Matar  •  1 jour

Pastef khamougnou dara

17  +1 J'AIME

SAKALOO  •  1 jour

C'est le nawet de qui ?

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