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#ONENPARLE

passant  •  6 mins

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  7 mins

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  49 mins

Plan de redressement ou plan de régression économique ? Ce 1er août, a été décliné en grande pompe, au Grand Théâtre, le plan de redressement économique. Mais une question essentielle se pose : dans six mois, ne constatera-t-on pas plutôt une régression économique ? Car si l’on parle aujourd’hui de redressement, c’est bien qu’il y a eu un effondrement. Cet effondrement est dû notamment aux fausses déclarations sur la dette publique et au discours populiste sur un prétendu « legs », sans fondement réel, qui ont entraîné la perte de confiance et la fuite des partenaires financiers. Dans ce plan, comme je l’avais prévu ; qu’il est temps de compter sur nous-mêmes. En langage clair, cela signifie un élargissement de l’assiette fiscale : plus d’impôts sur le foncier bâti, plus de pression sur les entreprises. Attendez-vous à recevoir d’ici peu dans vos demeures des impots à payer ou des amendes pour ceux qui seront en retard dans leur déclarations d’impôts Je ne crois pas en la réduction du train de vie de l’état soit discours cela doit etre un acte concret ces mesures de ce plan de régression économique sont destinées à récupérer de l’argent dans les poches des sénégalais qui actuellement souffrent de pauvreté ; ca ne sera que « du adu kalpé » comment demander à quelqu’un de contribuer à l’effort de développement alors qu’il n’a pas de quoi se nourrir et comment ces multitudes de plan en 15 mois de mois du point de vue de la coherence et de leur pertinence , on s’y perd finement ( le projet ; livre solution ; changer le système , plan senegal 2050 et aujourdhui plan de regression economique ) Un plan économique qui n’est pas compris ni partagé par les populations est voué à l’échec. Et dans six mois – en février ou mars 2026 , on risque de constater que ce plan n’a servi à rien : des entreprises auront fermé, des vies auront été brisées… et ce sera la vraie régression économique.

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Birane  •  1 heure

Il est allait faire sa soumission cad son djebalou à Lekjaa le roi de la CAF 😂

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passant  •  2 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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