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Dddddd  •  9 heures

Igfm égale promotion de la débauche au Sénégal

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Ousmane  •  19 heures

Chaque matin, des dizaines d’élèves de Simal affrontent un parcours du combattant pour rejoindre le lycée de Fimela. À pied, sous la chaleur, sous la pluie, en contournant un pont écroulé et une route impraticable. Ce n’est plus un trajet scolaire, c’est une épreuve d’endurance. Certains abandonnent. D'autres arrivent en retard. Fatigués, stressés, découragés. Et pourtant, ces enfants rêvent, étudient, persévèrent. Mais pour combien de temps encore ? J'ai vécu la même experience pendant des années. mais a quel prix ? 🔴 Le pont est hors service. 🔴 Aucun moyen de transport adapté. 🔴 Aucune mesure d’accompagnement. 🔴 Un silence institutionnel assourdissant. Nous sommes fatigués des discours politiciens, des visites théâtrales et des promesses en saison électorale. Ce que nous demandons est simple : 👉 Un pont solide et durable. 👉 Des routes accessibles. 👉 Des infrastructures dignes. 👉 Un engagement réel en faveur de l’éducation rurale. 🎯 Le développement ne se mesure pas en slogans. Il se mesure en actions concrètes. Le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye a une opportunité historique de rompre avec la politique de l’oubli. Investir à Simal, c’est investir dans l’avenir. Dans le bien-être. Dans la justice sociale.

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Makhou  •  20 heures

Il n'y a qu'une question qui vaille : le rapport de l'IGE ou de l'IGF existe-t-il ou non et, si oui, où se trouve-t-il ? Qu'on ne détourne donc pas le débat sur de supposés vices de procédure....

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Peace  •  21 heures

Ce dossier ne sert plus a rien ,Dieu a tout réparé.les manipulateurs et corrompus ont échoué et leur chef a fui

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Dddddd  •  9 heures

Le plus important c’est de dire au fugitif de rentrer au bercail s’il a des culs entre ses jambes

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Ousmane  •  19 heures

Simal n’a pas besoin de promesses : nous exigeons des actes. Je suis un fils de Simal. Et je parle au nom de tous ceux qui, chaque jour, bravent l’indifférence et l’oubli. Depuis plus de dix ans, notre pont est à l’agonie. Dix ans d’alerte, de rapports, de cris silencieux, de motions jamais lues. Dix ans pendant lesquels l’État, les autorités locales et les élus se sont renvoyé la balle, pendant que nos enfants risquaient leur vie pour aller à l’école, pendant que nos femmes perdaient leurs récoltes faute de marché, pendant que nos jeunes s’enfonçaient dans la précarité. Aujourd’hui, ce n’est pas une simple marche que nous avons organisée. C’est un sursaut de dignité. Une révolte contre le mépris. Une clameur contre l’abandon. Nous ne demandons pas un luxe. Nous exigeons un droit fondamental : celui de circuler librement, d’accéder aux soins, à l’école, au travail. Ce pont n’est pas un caprice, c’est une urgence vitale. À ceux qui nous gouvernent, nous disons : Regardez-nous dans les yeux et osez dire que nous ne méritons pas mieux. Osez dire que Simal ne vaut pas une ligne dans votre budget. Nous avons été patients. Trop patients. Désormais, nous n’attendons plus. Nous exigeons. Et nous ne nous tairons plus.

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Makhou  •  20 heures

Un scandale, ni plus ni moins !

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