Recherche: Gadiaga,

asar  •  6 heures

je crois qu'il avait le soin de mettre tout ses biens au nom de sa mère pendant sa vie de couple .

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asar  •  6 heures

je crois qu'il avait le soin de mettre tout ses biens au nom de sa mère pendant sa vie de couple .

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je crois qu'il avait le soin de mettre tout ses biens au nom de sa mère pendant sa vie de couple .

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Ousmane   •  51 mins

Merci Babs, Il faut aller jusqu'au bout ! Parce que C'est Sonko qui donne la depense quotidienne a YOOR YOOR , Ce Saliou Gueye peut dire n'importe quoi sur quiconque. Senegalais yi des fois on se demande pourquoi cette mechancete ? Parce que seulement la personne n'est pas d'accord avec vous, il est l'ennemi a abattre.

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Adel Abdallah   •  7 heures

Dem léne Balou akha wakeur imam NDAO

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Adel Abdallah   •  7 heures

Dem léne Balou akha wakeur imam NDAO

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passant  •  2 heures

Les opposants sénégalais sont régulièrement poursuivis sous le prétexte de diffusion de fausses nouvelles. Derrière cette stratégie, beaucoup voient une manœuvre politique destinée avant tout à les neutraliser et à les maintenir en prison, plutôt qu’à protéger réellement l’opinion publique contre de fausses informations. Les dossiers s’empilent, souvent sans preuves solides, ou avec des procédures qui soulèvent de sérieuses interrogations sur leur impartialité. Ainsi, au lieu de favoriser un débat d’idées constructif, on réduit au silence les voix discordantes, accentuant la division et privant le peuple d’une opposition forte et crédible. Or, une démocratie véritable a besoin d’une opposition libre pour équilibrer les pouvoirs et garantir la transparence. Mais la grande question demeure : où sont les bonnes nouvelles pour le peuple sénégalais ? Comment peut-on parler d’atteinte à la sûreté de l’État pour une somme de 9 millions ? Badara Gadiaga est une personne pacifique, démocratique et civilisée. Vous êtes en train de lui faire beaucoup de tort. Un conseil : profitez de ce dépôt de demande de liberté provisoire pour le libérer définitivement, car il n’a rien fait.

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Amadou  •  3 heures

Il faut le laisser rentrer chez lui. Trop c'est trop.

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passant  •  1 heure

Comment peut-on arrêter un citoyen et le détenir pendant huit longs mois sans jamais l’entendre ? Une telle situation est contraire aux principes élémentaires de la justice et du respect des droits humains. Le cas de Farba Ngom illustre parfaitement les dérives d’un système judiciaire instrumentalisé. Depuis son arrestation, aucune preuve sérieuse n’a été présentée contre lui. Tout porte à croire qu’il s’agit d’une manœuvre politique destinée à l’écarter de la scène publique. Dans un État de droit, la détention préventive ne doit pas devenir un outil de punition politique. Farba Ngom a droit à un procès équitable, ou à défaut, à une libération immédiate. Le silence prolongé de la justice dans ce dossier est inacceptable et préoccupant. Cette affaire ternit l’image du pays et affaiblit la confiance des citoyens envers les institutions. Il est temps de mettre fin à cette injustice : libérez Farba Ngom sans délai.

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Mamz  •  7 heures

Xana xaar bomou leer rekk ndax mbiru ceebmi betnañu

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Sakaloo  •  2 heures

Gérez ces choses en sourdine jusqu'à ce que tout soit clair. L'histoire de Mansour Faye taraude encore les esprits

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