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iRevue du 11 août
Il est 13:30 •
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Nous avons sélectionné les meilleurs articles de la journée.
Une revue sera automatiquement générée avec les meilleurs articles du moment sur les différents supports iGFM, Record et L'Obs.
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#ONENPARLE
Alerte: Un bus convoyant des Sénégalais pour le Magal serait victime d'attaque au Mali
Actualité 1 heure
Peace • 38 mins
Depuis quand les bus quitte ent Abidjan et passent au Mali ? et pourquoi le Mali dans ce contexte ?
7 +1 J'AIME
Ousmane • 1 heure
Pourquoi Passez par le Mali? Alors que nous savons tous la situation potentiellement dangereuse. Passer par la Guinee sera plus fatiguant mais moins risque. Il faudra s’organiser en avance pour prendre l’avion. Entre Abidjan et Dakar il y a au moins 2 vols quotidiens.
0 +1 J'AIME
Déclaration de patrimoine : Le Président "dispensé" d'en faire en fin de mandat....
Actualité 2 heures
Makhou • 1 heure
C'est n'importe quoi ! Que cherche-t-on à dissimuler, par anticipation ???
7 +1 J'AIME
Ousmane • 52 mins
Le reniement chez Pastef est ahurissant . Ce qui me choque , ils sont toujours dans la theorie et dans leurs actions , il font exactement le contraire et sans vergogne.
3 +1 J'AIME
Crise politique et économique au Sénégal : La CDS dénonce “un mois, deux discours, deux fractures”
Actualité 14 heures
Mme Kamara • 7 heures
Sonko loudoul fèn akh manipulations menouko
0 +1 J'AIME
Cheikh Bâ : “La magistrature n’a pas d’ennemis, elle rend justice au nom du peuple”
Actualité 1 jour
passant • 1 jour
Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.
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Cheikh Bâ succède à Ousmane Chimère Diouf à la tête de l’UMS
Actualité 1 jour
passant • 1 jour
Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.
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