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#ONENPARLE
FMI : La dette du Sénégal révisée à 118,8 % du PIB
Actualité 13 heures
passant • 9 heures
La question de la dette cachée et de la validation des chiffres par le FMI est effectivement sensible pour un pays comme le Sénégal. Lorsque le FMI « valide » les données budgétaires et d’endettements fournis par l’État, le problème devient plus sérieux. Le danger, c’est que le Sénégal accepte les conditionnalités imposées par le FMI : réduction des dépenses publiques, privatisations, gel des recrutements ou encore augmentation d’impôts. Autrement dit, ce qui est présenté comme un appui technique peut se transformer en piège, car le pays est alors obligé de se soumettre à une politique économique dictée de l’extérieur. Le débat sur la dette cachée et la validation des chiffres par le FMI prend une dimension particulière dans le contexte du plan de redressement économique. les réformes exigées risquent d’orienter l’économie davantage vers l’austérité que vers la croissance inclusive. Le danger est donc que le plan de redressement ou de régression devienne un simple prolongement des prescriptions du FMI, plutôt qu’une vision souveraine de développement. La question de la transparence des finances publiques est alors centrale : un plan de redressement solide ne peut reposer sur des bases fragiles. Le Sénégal doit s’assurer que ce plan n’est pas une façade, mais bien une stratégie indépendante et adaptée à ses réalités. Sinon, le risque est de transformer le redressement attendu en un cycle de dépendance permanente et finalement vers la régression économique
27 +1 J'AIME
Deugrek • 57 mins
Pour ceux qui en douter encore par bonne foi ou tout simplement par malhonnêteté, la dette cachée et bien réelle et va au delà même des 110% annoncés en premier lieu selon le rapport indépendant du cabinet Mazar. Ceci devrait clore le débat sur ce point précis. Maintenant passons aux responsabilités.
6 +1 J'AIME
Guinée Bissau : le Premier Ministre s'écroule en pleine cérémonie et évacué en urgence à Dakar
International 1 jour
tapaangué • 16 heures
Espérons qu'il n'y a rien de grave et que M Camara pourra bientôt continuer à exercer sa fonction.
0 +1 J'AIME
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Birane • 1 jour
Ce malabar sans cortex une montagne de muscle écervelé veut se lancer en politique depuis quand la politique est devenu une affaire de muscle et de gladiateurs???🤣
0 +1 J'AIME
tapaangué • 1 jour
PASTEF kou lène gueuneu con gueuneu gniaake khorom ak dakheu doul amoul.
1 +1 J'AIME
passant • 1 jour
Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.
0 +1 J'AIME
Ousmane • 1 jour
C'est grave, ce qui se passe dans ce pays. Toute personne exprimant son desaccord sur les actes politiques poses par le regime Pastef, est systematiquement envoye en prison. Il faut que les masses populaires et surtout la societe civile se levent et denoncent cet etat de fait. Cette forme d'intimidation ne doit pas passer . Accepter cela, signifie la fin de l'exception democratique senegalaise. Pastef moy la plus grande escroquerie politique du Senegal. Pastef moy digg, wakh lougn doul deff! Ce pays a vrai dire, va malheureusement droit au mur.
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Affaire Doudou Coulibaly: Le verdict est tombé...
Actualité 1 jour
Ousmane • 1 jour
C'est grave, ce qui se passe dans ce pays. Toute personne exprimant son desaccord sur les actes politiques poses par le regime Pastef, est systematiquement envoye en prison. Il faut que les masses populaires et surtout la societe civile se levent et denoncent cet etat de fait. Cette forme d'intimidation ne doit pas passer . Accepter cela, signifie la fin de l'exception democratique senegalaise. Pastef moy la plus grande escroquerie politique du Senegal. Pastef moy digg, wakh lougn doul deff! Ce pays a vrai dire, va malheureusement droit au mur.
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passant • 1 jour
Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.
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