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iRevue du 11 août

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#BLOG

"Réflexion sur la récupération des biens publics après le décès d’un gestionnaire poursuivi"

1 jour

Saly : L’Impact dévastateur des hôtels sur notre Identité et notre économie

4 jours

"Le Sénégal ne mérite pas une gouvernance faite de slogans"

5 jours

#ONENPARLE

Peace  •  4 heures

Depuis quand les bus quitte ent Abidjan et passent au Mali ? et pourquoi le Mali dans ce contexte ?

8  +1 J'AIME

Samba Ndiaye Dorma Pers  •  2 heures

Quid de la déontologie journalistique!Une info doit être vérifiée avant diffusion

6  +1 J'AIME

Ousmane  •  5 heures

Pourquoi Passez par le Mali? Alors que nous savons tous la situation potentiellement dangereuse. Passer par la Guinee sera plus fatiguant mais moins risque. Il faudra s’organiser en avance pour prendre l’avion. Entre Abidjan et Dakar il y a au moins 2 vols quotidiens.

2  +1 J'AIME

Makhou  •  5 heures

C'est n'importe quoi ! Que cherche-t-on à dissimuler, par anticipation ???

8  +1 J'AIME

Ousmane  •  4 heures

Le reniement chez Pastef est ahurissant . Ce qui me choque , ils sont toujours dans la theorie et dans leurs actions , il font exactement le contraire et sans vergogne.

5  +1 J'AIME

DE  •  1 heure

à quoi sert la loi maintenant, il faut que les pastefiens arrêtent de nous prendre pour des moutons

0  +1 J'AIME

Mme Kamara  •  11 heures

Sonko loudoul fèn akh manipulations menouko

0  +1 J'AIME

passant  •  1 jour

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  1 jour

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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