"Le Saladin des tropiques africains ou des peuples noirs"

 Cet homme s’impose d’ores et déjà comme l’une des figures historiques appelées à marquer durablement l’histoire du monde, par son style de communication atypique, son courage, son intelligence tactique, ainsi que par son amour viscéral pour son pays, le Sénégal, et au-delà, pour l’Afrique.

Son combat désintéressé, fondé sur des convictions profondes et assumées, contre la corruption, les oppressions exercées par les détenteurs du pouvoir, les détournements de deniers publics, la mauvaise gouvernance, la gabegie et la concussion, témoigne de son engagement infatigable en faveur de l’honneur et de la dignité des masses populaires.

Pourquoi alors cette comparaison avec Saladin, ce combattant musulman qui parvint, à l’époque médiévale, à réunifier les États musulmans ?

Saladin Ibn Ayyoub, figure politique et religieuse majeure du monde musulman, issu d’une minorité kurde originaire de Tikrīt, dans l’ouest de l’Irak actuel, réussit, grâce à l’efficacité de ses stratégies tactiques et à sa foi inébranlable, à fédérer des forces militaires islamiques majoritairement composées d’Arabes. Il parvint ainsi à vaincre les Croisés et à reconquérir Jérusalem, qu’il érigea en capitale de l’Islam.

Son appartenance à une communauté musulmane minoritaire ne constitua nullement un obstacle à la restauration de la grandeur de l’empire musulman, alors affaibli par de multiples agressions étrangères. Cette similitude entre ces deux leaders charismatiques se révèle surtout à travers leurs origines ethniques minoritaires et leur ascension fondée sur une combativité sans concession.

Ousmane SONKO, homme politique d’exception par son charisme et la solidité de ses convictions, est issu d’une ethnie minoritaire établie dans le sud du Sénégal. Cette origine n’a cependant jamais entravé son envergure nationale ni son capital de sympathie, inédit au Sénégal pour un homme politique originaire du Sud. Cette réalité conduit d’ailleurs nombre de chroniqueurs à affirmer que SONKO dispose d’une véritable base politique nationale.

Doté d’une capacité oratoire hors du commun et d’une détermination sans égale, le PROS, comme l’appellent affectueusement ses partisans, s’impose comme une figure politique singulière par son parcours de courage, son attachement à la transparence et son engagement sans compromis pour la restauration de la dignité de l’Africain.

Depuis la traite négrière, l’Afrique a été le théâtre de massacres de masse, de pillages systématiques de ses ressources naturelles, et de déstabilisations répétées de ses institutions politiques, sociales et culturelles. Le continent africain est devenu, depuis des siècles, un champ de bataille d’influences et de rivalités entre puissances étrangères et multinationales se disputant ses ressources vitales, au détriment de sa stabilité, de sa cohésion et de la paix entre ses peuples. Ces pratiques séculaires ont engendré pauvreté, maladies et conflits sur un continent pourtant parmi les plus riches du monde en ressources naturelles.

C’est dans ce contexte qu’émerge cette lueur d’espoir incarnée par Ousmane SONKO qui, en à peine dix années d’engagement politique, est parvenu à cristalliser l’attention générale et à replacer le Sénégal au cœur d’un regard renouvelé de respect et d’admiration sur la scène internationale.

À titre illustratif, Ousmane SONKO a récemment été cité parmi les vingt personnalités qui façonnent le monde actuel. Cette distinction ne fait que confirmer l’ampleur et la noblesse de la mission à laquelle le PROS s’est engagé pour la dignité et l’honneur de l’homme noir.

Aujourd’hui, de nombreux Africains prennent conscience des véritables enjeux qui gouvernent le monde grâce à son discours de vérité et de transparence. Il s’érige ainsi en pourfendeur de la mauvaise gouvernance et en porte-étendard de la souveraineté réelle du Sénégal et de l’Afrique, condition sine qua non de toute reconstruction institutionnelle durable du continent noir.

Cette œuvre colossale et à haut risque repose désormais sur un homme politique sénégalais : Ousmane SONKO. Ce chantier hautement stratégique fait de lui la cible privilégiée de ceux qui entendent perpétuer la domination et la soumission de l’Afrique noire.

Pour le plus grand bonheur du continent, Ousmane SONKO est en train de gagner ce combat en éveillant les masses populaires, désormais porteuses d’un regard neuf sur la gestion des affaires publiques. Cette œuvre de conscientisation, qui dépasse les frontières du Sénégal et de l’Afrique, commence à produire des effets visibles à travers une implication citoyenne croissante dans la gouvernance publique.

Le complexe d’attendre un « Messie » venu de l’étranger est en passe d’être vaincu ; les Africains prennent de plus en plus conscience qu’ils sont les seuls détenteurs des solutions pour la libération de leur continent. Ce travail engagé poursuit sa marche, nourri chaque jour par l’adhésion populaire.

La réussite de ce combat politique réside dans l’engagement sincère et la foi inébranlable du leader en la dignité de l’homme noir, capable de relever tous les défis qui se dresseront sur son chemin.

Certes, les défis demeurent immenses pour la renaissance du continent africain, mais Ousmane SONKO renforce la conviction que l’Afrique peut sortir des ténèbres du sous-développement par un engagement résolu en faveur d’un Sénégal juste, souverain et prospère. Sous une politique de rupture portée par le PASTEF et le leadership éclairé du PROS, le Sénégal pourrait devenir la tête de pont d’un renouveau africain fondé sur une vision décomplexée des enjeux mondiaux.

L’Afrique ne saurait remporter le combat du développement intégré sans une gestion rigoureuse de ses ressources financières ni sans un engagement citoyen volontaire de tous ses fils.

C’est ce changement de paradigme dans les mentalités africaines que le leader Ousmane SONKO est en train d’opérer par sa persévérance.

Aujourd’hui, malgré une conjoncture alarmante, la dynamique impulsée sous son leadership permet aux Sénégalais de croire, avec une conviction renouvelée, que le pays s’est irréversiblement engagé sur la voie du véritable changement.

Avec l’Agenda de transformation Sénégal 2050, le pays amorce un vaste chantier de modernisation de ses secteurs vitaux, porteur de progrès économique et social, et susceptible d’inspirer d’autres politiques de développement à l’échelle continentale.

La noblesse et l’ampleur de ce projet imposent moralement à chaque Sénégalais de s’y engager afin de soutenir et d’accompagner notre « Saladin africain », appelé à hisser le Sénégal et l’Afrique parmi les nations qui comptent.

Sans esprit de fanatisme, le PROS peut être perçu comme une miséricorde divine venue réparer les injustices longtemps infligées au peuple sénégalais, profondément meurtri par l’injustice et l’accaparement des ressources par des élites politiques successives, souvent en connivence avec certaines puissances étrangères.

Ainsi, pour notre salut collectif, le devoir nous commande d’adhérer à ce projet de société fondé sur les valeurs de vérité, de travail et de transparence, pour lequel Ousmane SONKO s’est toujours sacrifié. »

Maître Babacar NDIAYE