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iRevue du 1 août
Il est 11:26 •
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#ONENPARLE
passant • 1 heure
Plan de redressement ou plan de régression économique ? Ce 1er août, est décliné en grande pompe, au Grand Théâtre, le plan de redressement économique. Mais une question essentielle se pose : dans six mois, ne constatera-t-on pas plutôt une régression économique ? Car si l’on parle aujourd’hui de redressement, c’est bien qu’il y a eu un effondrement. Cet effondrement est dû notamment aux fausses déclarations sur la dette publique et au discours populiste sur un prétendu « legs », sans fondement réel, qui ont entraîné la perte de confiance et la fuite des partenaires financiers. Dans ce plan, ne soyez pas surpris d’entendre qu’il est temps de compter sur nous-mêmes. En langage clair, cela signifie un élargissement de l’assiette fiscale : plus d’impôts sur le foncier bâti, plus de pression sur les entreprises. Mais il ne sera pas question de réduire le train de vie de l’État, car ce serait contradictoire avec l’usage continu des jets privés et autres privilèges coûteux. Et pourtant, malgré toutes ces mesures destinées à récupérer de l’argent dans les poches des Sénégalais les plus modestes, les résultats risquent d’être très limités. L’être humain a une capacité naturelle d’adaptation, mais elle a ses limites. Un plan économique qui n’est pas compris ni partagé par les populations est voué à l’échec. Et dans six mois – en février ou mars – on risque de constater que ce plan n’a servi à rien : des entreprises auront fermé, des vies auront été brisées… et ce sera la vraie régression économique.
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Abdou • 2 mins
Du Grand Theatare, staring:Ousmane Sonko. Featuring : 4000 cadres-moutons.
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Qad • 6 heures
LE NIGÉRIA C'EST NOTRE BÊTE NOIRE ÇA SERA PRESQUE IMPOSSIBLE MAIS SI VOUS FÊTES PREUVE DE PERSÉVÉRANCE LÀ SURPRISE...
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Concours général 2025 : Une édition tournée vers l’avenir numérique
Actualité 23 heures
Abdou • 21 heures
L’avenir de la médecine réside dans le numérique et l’intelligence artificielle, avec des outils de diagnostic et de traitement très avancés capables de vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique ouvre des perspectives extrêmement prometteuses. Cependant, nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs suffisamment équipées pour former dans ce nouveau domaine. C’est pourquoi le gouvernement doit relancer l’attribution de la bourse d’excellence pour la France, notamment dans le cadre des classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Il est également impératif d’élargir cette coopération à d’autres pays comme la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, Singapour et l’Angleterre, afin de permettre l’envoi de centaines d’étudiants dans chacun de ces pays. De nombreux pays en développement, comme le Maroc et la Chine, continuent d’envoyer chaque année des centaines d’étudiants en France pour bénéficier des meilleures formations en ingénierie, avec pour objectif de les voir revenir ensuite servir leur pays. Il faut simplement mettre en place un dispositif garantissant leur retour au Sénégal à la fin de leur formation, suivi d’une période de trois ans d’expérience professionnelle, éventuellement à l’international. Mais garder tous les bacheliers au Sénégal, alors que nous ne disposons pas d’écoles d’ingénieurs capables de les former convenablement, constitue un véritable gâchis. Les rares écoles existantes, comme l’École Polytechnique de Thiès ou l’École Supérieure Polytechnique de Dakar, ne sont malheureusement pas suffisamment outillées pour former des ingénieurs hautement qualifiés. À leur sortie, beaucoup de jeunes diplômés peinent à trouver un emploi et se voient proposer des salaires bruts de l’ordre de 400 000 FCFA, voire moins. Un jeune qui réussit un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien mérite d’être soutenu afin d’intégrer une école de haut niveau, qui lui garantira plus tard un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire tous ces efforts pour finir dans la précarité n’est pas un modèle qui incite à l’excellence. L’industrialisation du pays ne sera possible que si nous disposons d’un vivier suffisant d’ingénieurs bien formés, issus des meilleures écoles du monde. Il est donc impératif d’envoyer nos étudiants à l’étranger pour qu’ils bénéficient de l’expertise avancée de ces pays dans des domaines clés tels que : les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, les neurosciences ou encore la biotechnologie. Former une génération d’ingénieurs sénégalais compétents et à la pointe des technologies nous évitera de voir l’espace public accaparé par des personnes ignorantes tenant des discours creux. Dans une société bien formée, seuls ceux qui savent ont droit à la parole
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Je m’appel Moussa KEITA depuis T • 2 heures
Je m’appelle Moussa KEITA depuis Tamba; mon Avis est que le Sénégal ne sous estime pas ses adversaires si c’est le cas avec un peu plus de courage, nous pourrons vaincre la C.I . Bonne chance
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passant • 1 jour
Plan de redressement ou plan de régression économique ? Demain 1er août, sera lancé en grande pompe, au Grand Théâtre, le plan de redressement économique. Mais une question essentielle se pose : dans six mois, ne constatera-t-on pas plutôt une régression économique ? Car si l’on parle aujourd’hui de redressement, c’est bien qu’il y a eu un effondrement. Cet effondrement est dû notamment aux fausses déclarations sur la dette publique et au discours mensonger sur un prétendu « legs », sans fondement réel, qui ont entraîné la perte de confiance et la fuite des partenaires financiers. Dans ce plan, ne soyez pas surpris d’entendre qu’il est temps de compter sur nous-mêmes. En langage clair, cela signifie un élargissement de l’assiette fiscale : plus d’impôts sur le foncier bâti, plus de pression sur les entreprises. Mais il ne sera pas question de réduire le train de vie de l’État, car ce serait contradictoire avec l’usage continu des jets privés et autres privilèges coûteux. Et pourtant, malgré toutes ces mesures destinées à récupérer de l’argent dans les poches des Sénégalais les plus modestes, les résultats risquent d’être très limités. L’être humain a une capacité naturelle d’adaptation, mais elle a ses limites. Un plan économique qui n’est pas compris ni partagé par les populations est voué à l’échec. Et dans six mois – en février ou mars – on risque de constater que ce plan n’a servi à rien : des entreprises auront fermé, des vies auront été brisées… et ce sera la vraie régression économique.
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