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Waly Diouf BODIAN : Pourquoi vouloir dissoudre le Conseil constitutionnel ? (MaremKANTÉ)

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Pastef, le changement en pire  (Par Aly Bathily)

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Bâtir un Sénégal durable commence par protéger ceux qui le construisent (Par Mohamadou Sow)

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#ONENPARLE

passant  •  2 heures

Plan de redressement ou plan de régression économique ? Demain 1er août, sera lancé en grande pompe, au Grand Théâtre, le plan de redressement économique. Mais une question essentielle se pose : dans six mois, ne constatera-t-on pas plutôt une régression économique ? Car si l’on parle aujourd’hui de redressement, c’est bien qu’il y a eu un effondrement. Cet effondrement est dû notamment aux fausses déclarations sur la dette publique et au discours mensonger sur un prétendu « legs », sans fondement réel, qui ont entraîné la perte de confiance et la fuite des partenaires financiers. Dans ce plan, ne soyez pas surpris d’entendre qu’il est temps de compter sur nous-mêmes. En langage clair, cela signifie un élargissement de l’assiette fiscale : plus d’impôts sur le foncier bâti, plus de pression sur les entreprises. Mais il ne sera pas question de réduire le train de vie de l’État, car ce serait contradictoire avec l’usage continu des jets privés et autres privilèges coûteux. Et pourtant, malgré toutes ces mesures destinées à récupérer de l’argent dans les poches des Sénégalais les plus modestes, les résultats risquent d’être très limités. L’être humain a une capacité naturelle d’adaptation, mais elle a ses limites. Un plan économique qui n’est pas compris ni partagé par les populations est voué à l’échec. Et dans six mois – en février ou mars – on risque de constater que ce plan n’a servi à rien : des entreprises auront fermé, des vies auront été brisées… et ce sera la vraie régression économique.

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sweet beauty  •  18 heures

fin de la prise d'otage, triste sénégal, on met en prison les gens sans motifs valables, diomaye fait attention, sonko est entrain de salir ton magistére, les sénégalais sont faitgués de ton premier ministre, il faut le virer et gouverne en paix, le mec est l'incarnation du diable, liberez les autres detenus politiques, Lat Diot, Guére, Assane, Farma etc. c'est honteux pour des juges respectueux des libertés humaines.

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sweet beauty  •  18 heures

fin de la prise d'otage, triste sénégal, on met en prison les gens sans motifs valables, diomaye fait attention, sonko est entrain de salir ton magistére, les sénégalais sont faitgués de ton premier ministre, il faut le virer et gouverne en paix, le mec est l'incarnation du diable, liberez les autres detenus politiques, Lat Diot, Guére, Assane, Farma etc. c'est honteux pour des juges respectueux des libertés humaines.

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sweet beauty  •  18 heures

fin de la prise d'otage, triste sénégal, on met en prison les gens sans motifs valables, diomaye fait attention, sonko est entrain de salir ton magistére, les sénégalais sont faitgués de ton premier ministre, il faut le virer et gouverne en paix, le mec est l'incarnation du diable, liberez les autres detenus politiques, Lat Diot, Guére, Assane, Farma etc. c'est honteux pour des juges respectueux des libertés humaines.

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passant  •  23 heures

Le verdict du procès de Moustapha Diakhaté qui était attendu depuis le 2 juillet 2025 est finalement tombé ce 30 Juillet. Il a écopé de deux mois de prison avec sursis, dont 15 jours ferme, une peine symbolique qui masque mal une volonté de museler la parole libre. Ce qui scandalise davantage, c’est qu’il a passé gratuitement un mois en détention sans véritable justification. Ce séjour gratuit en prison est une atteinte flagrante aux droits fondamentaux. Moustapha Diakhaté n’a ni incité à la violence, ni porté atteinte à l’ordre public. Il s’est contenté d’exprimer ses idées, dans le cadre d’un débat démocratique. Dans un État de droit, la liberté d’opinion ne devrait jamais conduire à la privation de liberté. Il est urgent que le juge des libertés rétablisse l’équilibre entre justice et respect des droits humains. Rien ne peut justifier l’emprisonnement d’un homme pour ses idées dans une démocratie digne de ce nom.

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passant  •  18 heures

Le nouveau régime avait lancé du Plan Sénégal 2050 et demain c'est le lancement du projet de redressement économique à court terme ; Sur le papier, la vision paraît structurée, avec des objectifs clairs et un calendrier précis. Cependant, face à une dette publique écrasante, une économie fragilisée et un climat social tendu, ces plans soulèvent des interrogations. Le pouvoir semble multiplier les annonces sans toujours donner des garanties concrètes sur les moyens de mise en œuvre. La cohérence stratégique est là, mais la faisabilité reste floue. Ce décalage entre ambition et réalité alimente le doute : le régime sait-il vraiment où il va ou improvise-t-il sous la pression ? Dans ce contexte, la confiance populaire pourrait vite s’éroder si les résultats ne suivent pas.

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Makhou  •  22 heures

Tout ça pour ça. C'est vraiment n'importe quoi, sauf la justice !!!

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Jassissou  •  19 heures

Et quelles sont la ET les banques dont vous parlez?

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Ibrahima Zola Sané   •  1 jour

Très bonne initiative pour que la démocratie respire

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