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#BLOG

"Réflexion sur la récupération des biens publics après le décès d’un gestionnaire poursuivi"

1 jour

Saly : L’Impact dévastateur des hôtels sur notre Identité et notre économie

3 jours

"Le Sénégal ne mérite pas une gouvernance faite de slogans"

4 jours

#ONENPARLE

Mme Kamara  •  2 heures

Sonko loudoul fèn akh manipulations menouko

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passant  •  22 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  22 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  1 jour

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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SAKALOO  •  21 heures

Pourquoi attendre aujourd'hui pour le dire ?

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passant  •  1 jour

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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GFM  •  1 jour

GUIIR YALLAH. YOUSSOU NDOUR PAYEZ NOS SALAIRES CAR, NOS FAMILLES SONT TRÈS FATIGUÉES. NOUS VIVONS DANS LA MISÈRE. NOUS ESPÉRONS BIEN QUE VOUS ALLEZ NOUS PAYER AU LIEU DE PRENDRE L'ARGENT POUR ALLER LE VERSER CHEZ DES MARABOUTS PENDANT LE MAGAL. YEURMANDE

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SAKALOO  •  21 heures

La première institution du pays est quotidiennement sous le feu des critiques pourquoi pas la Justice, surtout si elle regarde par moments du côté du prince !

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Joe Naye Marone

Directeur

Service commercial

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