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MALI-ARMÉE-TRANSITION: Vers la nuit des longues baïonnettes (Par Babacar Justin Ndiaye).

1 semaine

Quand « Le Monde » retourne à La Baule… (Par Mamoudou Ibra Kane)

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"Réflexion sur la récupération des biens publics après le décès d’un gestionnaire poursuivi"

2 semaines

#ONENPARLE

Birane  •  3 heures

Ce malabar sans cortex une montagne de muscle écervelé veut se lancer en politique depuis quand la politique est devenu une affaire de muscle et de gladiateurs???🤣

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tapaangué  •  16 heures

PASTEF kou lène gueuneu con gueuneu gniaake khorom ak dakheu doul amoul.

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passant  •  10 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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Ousmane   •  9 heures

C'est grave, ce qui se passe dans ce pays. Toute personne exprimant son desaccord sur les actes politiques poses par le regime Pastef, est systematiquement envoye en prison. Il faut que les masses populaires et surtout la societe civile se levent et denoncent cet etat de fait. Cette forme d'intimidation ne doit pas passer . Accepter cela, signifie la fin de l'exception democratique senegalaise. Pastef moy la plus grande escroquerie politique du Senegal. Pastef moy digg, wakh lougn doul deff! Ce pays a vrai dire, va malheureusement droit au mur.

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Ousmane   •  9 heures

C'est grave, ce qui se passe dans ce pays. Toute personne exprimant son desaccord sur les actes politiques poses par le regime Pastef, est systematiquement envoye en prison. Il faut que les masses populaires et surtout la societe civile se levent et denoncent cet etat de fait. Cette forme d'intimidation ne doit pas passer . Accepter cela, signifie la fin de l'exception democratique senegalaise. Pastef moy la plus grande escroquerie politique du Senegal. Pastef moy digg, wakh lougn doul deff! Ce pays a vrai dire, va malheureusement droit au mur.

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passant  •  10 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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passant  •  10 heures

Du délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président à la diffusion de fausses nouvelles Le délit d’offense à une personne détenant les prérogatives du président a souvent servi de base pour arrêter et placer en détention provisoire certaines personnalités, sans preuves suffisamment solides pour soutenir l’accusation. Les cas de Bah Diakhaté, Moustapha Diakhaté, Bahir Fofana et bien d’autres illustrent cette pratique : tous ont été relâchés de ce chef d’inculpation après avoir passé des jours, voire des semaines, en détention. Cela laisse penser que l’objectif premier n’était pas de mener à terme une procédure judiciaire sur ce fondement, mais plutôt de neutraliser temporairement ces voix jugées gênantes. Finalement, faute de pouvoir maintenir l’accusation d’offense, c’est souvent le délit de diffusion de fausses nouvelles qui est retenu contre eux. Ce basculement montre un glissement stratégique : on abandonne une infraction difficile à prouver pour se rabattre sur une incrimination plus vague et plus flexible. Le délit de diffusion de fausses nouvelles permet au parquet de cibler des propos jugés nuisibles à l’ordre public, même si leur véracité est difficile à établir. Cela offre un terrain plus large pour engager des poursuites, tout en donnant l’impression que la justice agit pour protéger la société. Cependant, cette approche soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression et la présomption d’innocence. Elle laisse aussi l’image d’une justice qui cherche les charges après coup plutôt que de s’appuyer sur des faits établis dès le départ. À terme, ce type de pratiques risque de fragiliser la crédibilité même de l’institution judiciaire.

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Birane  •  1 jour

C'est une équipe de guerriers ça se bagarre partout sur terre dans les airs 🤣

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